Lu dans l'express dans un portrait de Frédéric MItterrand :
"Ainsi a-t-on été fort surpris, au ministère de la Défense, de le voir surgir, le 13 juillet, en pleine garden-party, pendant que la chorale chantait. Seul membre du gouvernement à s'être déplacé, hors ceux qui gèrent la chose militaire... Le ministre de la Culture chez les kakis, témoignant son admiration aux soldats blessés au feu, du jamais-vu, ou presque, de mémoire de galonné. "L'armée a une grande responsabilité vis-à-vis du patrimoine, explique Mitterrand. Mais la vraie raison est ailleurs : j'habite en face et, depuis vingt ans, je voyais la fête de chez moi ; j'ai eu envie d'aller voir à quoi ressemblait mon appartement vu du ministère. Eh bien, je n'ai pas été déçu : on le voit à merveille, on voit l'intérieur, jusqu'à mes tableaux."
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/l-extravagant-m-mitterrand_778697.html
vendredi 7 août 2009
dimanche 2 août 2009
Finissant la lecture de la solitudes des premiers, je lisais une critique de ce livre sur fluctuat net.
la journaliste, fort justement à mon avis, disait que c'était le genre de livre qu'on aimerait critiquer mais qu' on arrive pas à critiquer..
mais pourquoi donc vouloir critiquer un livre qu'on aime ? qu'est ce qui gêne ? le côté fabriqué lié à une écriture qui le semble moins ?
n'est ce pas tout simplement le plaisir régressif du conte de fée que l'on retrouve en lisant un livre comme ça. aussi peu vraisemblable et pourtant atteignant à des choses sinon vraies du moins d'une grande authenticité.. ce fameux mentir vrai. en tout cas, c'est comme ça que je comprends la formule d'aragon. s'éloigner du vraisemblable au point de mentir mais pour atteindre une vérité que la réalité n'aura jamais..
aurai je du aller en hypokagne pour me soigner ?
est il trop tard ?
aidez moi
la journaliste, fort justement à mon avis, disait que c'était le genre de livre qu'on aimerait critiquer mais qu' on arrive pas à critiquer..
mais pourquoi donc vouloir critiquer un livre qu'on aime ? qu'est ce qui gêne ? le côté fabriqué lié à une écriture qui le semble moins ?
n'est ce pas tout simplement le plaisir régressif du conte de fée que l'on retrouve en lisant un livre comme ça. aussi peu vraisemblable et pourtant atteignant à des choses sinon vraies du moins d'une grande authenticité.. ce fameux mentir vrai. en tout cas, c'est comme ça que je comprends la formule d'aragon. s'éloigner du vraisemblable au point de mentir mais pour atteindre une vérité que la réalité n'aura jamais..
aurai je du aller en hypokagne pour me soigner ?
est il trop tard ?
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